Hello, hello !
J'espÚre que tu vas bien ! Long time no see mais ça y est : je suis officiellement triathlÚte. Quelle fierté⊠et surtout, quel kif !
Mais aprĂšs lâeuphorie, jâai aussi vĂ©cu un petit creux. Et aujourdâhui, je suis mĂȘme en pause forcĂ©e⊠C'est ce dont on va parler dans cette Ă©dition.
That post course feeling
J'ai mis beaucoup de temps à revenir ici mais j'avais besoin de digérer ce qu'il s'était passé et de reprendre mes esprits.
Je me suis laissée bien 2 semaines tranquille pour réaliser ce que j'avais réussi à faire et faire un bilan.
Sans tout spoiler sur le futur récit de la course : évidemment il y a eu du bon comme du moins bon mais je suis ultra contente d'avoir vécu l'expérience !
L'envie d'en refaire un est forte mais avec beaucoup, beaucoup de conditions !
J'ai aussi pris le temps de vivre le petit blues post course : tu sais celui oĂč tu ne sais plus quoi faire de toi, ni vers quel objectif aller aprĂšs des mois de prĂ©pa.
Et ensuite la vie a repris son cours, j'ai couru en mode super chill, au feeling.
Et d'ailleurs ce blues post course, je ne suis pas la seule à l'avoir ressenti. Anna une Youtubeuse dont j'ai bingé la série de sa prépa pour le triathlon M de Deauville l'a eu aussi. Je l'avais déjà vécu pour certaines courses officielles mais là , j'ai vraiment eu l'impression de me prendre un mur !
Si tu veux suivre une prĂ©pa triathlon en vidĂ©o sans chichi je te conseille vraiment sa chaĂźne đ
Mais ce blues ce n'est pas la seule chose qui m'a éloignée des baskets...
De la frustration de ne pas pouvoir courir
C'est quand je ne peux pas courir que ce sport me manque le plus. Que je comprends ce qu'il m'apporte et le vide qu'il laisse dans ma vie.
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