Hello, hello !
J'espère que tu vas bien ! Me revoici après des mois bien riches.
Et je dois l'avouer la préparation triathlon a pris beaucoup plus de place dans ma vie que je ne l'envisageais au départ ! #oopsie
Mais en même temps n'était-ce pas prévisible ?

Je pensais documenter tout ça ici au fur et à mesure. Finalement, j’ai choisi d’expérimenter à fond, de m'imprégner avant de partager ici.
Plusieurs raisons à cela :
- cette prépa a pris énormément de place (et d’énergie) dans mon quotidien,
- j’ai aussi traversé des changements pros importants,
- et surtout, j’avais peur de vouloir trop en faire… au risque de me cramer sur des projets censés rester un plaisir.
👉 Résultat : je reviens avec plein d’idées de newsletters et l’envie de te partager ce que j’ai appris.
Une préparation pas comme les autres
J-6 avant le jour J, et en lisant les infos envoyées par l’organisation, je suis autant excitée que stressée.
Mais ce que je voulais surtout te partager aujourd’hui, c’est ça :
Je n'ai pas encore fait le triathlon, mais cette prépa m’a déjà transformée.
Je suis différente de celle que j’étais en février, quand j’ai décidé de lâcher le Semi de Paris.
Cette 1ère préparation triathlon m’a bousculée physiquement, mentalement, émotionnellement.
Et surtout… j'ai trop kiffé.
Évidement, il y a eu des hauts et des bas.
Des jours où je me suis demandée pourquoi je m'imposais tout cela. Surtout quand tu dois reprendre en visio à 14h alors que tu n'as pas encore déjeuné et que tu tuerais pour t'allonger juste un peu 😅
Mais il y a eu tellement de fin de séances avec le sourire...
🚴♀️ Le vélo m'a redonné des ailes
Le vélo, ça a été une bouffée d’air frais.
Les sessions à la pause déjeuner, les premiers rayons de soleil, les courses improvisées avec mon mari (sur son vélo électrique)…
Sans faire des milliers de kilomètres, je me suis sentie libre.
Comme en vacances. Comme si tout était possible.
🏊♀️ La natation m'a apaisée
La natation, elle, m’a rendue forte.
Elle m’a fait bosser mon cardio, découvrir des muscles inconnus, travailler ma proprioception autrement.
Mais surtout, elle m’a obligée à me concentrer.
Au point que c’est devenu une forme de méditation active.
J’ai rarement réussi à apaiser mon mental comme ça ces dernières années.
Et tu sais quoi ? J’ai tellement aimé que j’ai zappé certaines séances de course pour aller à la piscine. 😱
Alors que la logistique pour aller à la piscine était beaucoup plus contraignante que chausser les baskets...
🏃♀️Je me suis réconciliée avec la course à pied
Avoir moins de temps pour courir m'a aidé à faire la paix avec la course à pied.
Moins de temps ➡️ plus de plaisir.
Comme la partie course de mon triathlon est petite et que j'avais peur de me blesser en combinant les 3 sports, j’ai lâché la pression.
Pas de chrono, pas de plan d'entrainement, pas de distance à respecter.
Je suis juste allée courir au feeling selon l'inspiration ou le besoin du moment.
Et c’est là que j’ai redécouvert ce que j’aimais dans la course et que j'avais un peu perdu en m'entrainant pour le Semi de Paris : le plaisir simple de bouger, de respirer, de sortir et rentrer satisfaite.
J’ai même recouru un 10 km officiel en mode ultra chill - et j’ai adoré. Tellement que je me suis inscrite à un cross en novembre !

🧠 J'ai changé de mindset
Cette préparation m'a réappris à traiter mon corps et mon esprit globalement.
👉 Paradoxalement, le triathlon m'a poussé à me reposer.
J'ai intégré que le repos fait partie de l'entraînement et que l'équilibre est essentiel pour continuer.
J'ai fait des siestes. Souvent. Longtemps. Sans culpabiliser.
Ma qualité de sommeil s'est grandement améliorée grâce au croisement des disciplines.
👉 J'ai revu mes objectifs et allégé mon planning pour aller à l'essentiel - vraiment.
Fini de courir après 15 trucs à la fois. Et ça m'a fait du bien !
👉 J'ai aussi lâché le mythe de la prépa "parfaite".
Je pensais faire une "vraie" préparation avec un plan d'entrainement et tout le tintouin et puis... j'ai décidé de faire les choses au feeling.
Pas de plan strict, pas de culpabilité si je saute une séance.
Je me suis écoutée. J'ai avancé à mon rythme.
Et malgré tout, j'ai tenu un rythme régulier : 4 séances/semaine en moyenne avec un bon mix des 3 disciplines + du yoga.
Tout ça sans blessure, en prenant du plaisir et en me sentant bien tout simplement.
🏆 Bref, c'est déjà une victoire
Je n'ai pas encore pris le départ que je me sens déjà triathlète.
Cette prépa m'a demandé de m'organiser différemment, de faire des choix forts, de me concentrer comme rarement. #tetrisdanslagenda
Mais surtout, elle a amorcé une réconciliation avec mon corps.
Elle m'a aidé à calmer le mental, à bouger avec plaisir, à m'accorder du temps pour moi - rien que pour moi.
Parce que la préparation triathlon c'est un vrai casse-tête organisationnel et un gros challenge pour trouver l'équilibre.
Même à l'arrache, j'ai adoré cette préparation. Si c'était à refaire, je ne changerai absolument rien !
J'ai toujours hâte de la prochaine session peu importe le sport 🏃♀️🚴♀️🏊♀️🧘♀️
Et ça, c'est déjà une ENORME victoire.
❤️ Mon conseil pour toi
Si tu prépares un objectif, petit ou grand ...
Si tu reprends le sport ou si tu veux retrouver de la joie dans ta routine...
Fous toi la paix. Et savoure le chemin.
Parce que le sport avant tout, c'est ça : te faire du bien et avoir toujours envie d'y retourner ✌️
🎁 Bonus - Prépa sans pression
🔎 7 questions pour organiser ta prépa à ton rythme
Avant de te jeter sur un plan d'entraînement ou un tableau Excel/Notion, prends un moment pour réfléchir à ce qui compte vraiment pour toi.
Voici quelques questions pour t'aider à construire une préparation qui te ressemble ...
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